Pourquoi travailler ensemble alors qu’on ne se connaît pas
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Quel âge avez-vous ?
- J’ai acquis mes droits à la retraite et je pourrais m’arrêter de travailler, mais j’aime trop mon métier pour tirer ma révérence.
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Pourquoi travailler ensemble demain ?
- Mon métier nécessite maturité, humilité, passion. Et le temps renforce pour moi ces trois critères. Aussi je vous sollicite pour vous proposer de créer de la valeur ensemble.
- Je souhaite apporter encore pendant au moins 3 ans ma contribution au collectif des organisations et quelques années de plus en accompagnement individuel de cadres.
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Vous avez de nombreuses références clients. Pourquoi travailler ensemble, en étant nouveau l’un pour l’autre ?
- Je comprends que cette question émerge. Voici ma réponse la plus honnête:
- Mes nombreux interlocuteurs clients étaient souvent plus âgés que moi et ont pris leur retraite.
- Mes interventions ont souvent été à effet rapide et pérenne. Il faut savoir disparaître quand la mission est achevée. Les fruits de mes missions appartiennent à mes clients
- J’ai opéré des missions de transformation managériales, culturelles ou stratégiques. L’expérience m’a prouvé que seul le départ du dirigeant les a fragilisées.
- Je comprends que cette question émerge. Voici ma réponse la plus honnête:
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Sur quel sujet travailler ensemble ?
- Je souhaite désormais me concentrer sur 4 thèmes de première mission chez un nouveau client :
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- La cohésion du Comité de direction grâce à l’interview de ses membres, puis l’animation d’un séminaire au vert pour traiter ses dysfonctionnements, suivi d’une analyse très détaillée et d’un plan d’action avec le Dirigeant.
- Le coaching du Dirigeant pour pallier sa solitude ou celle d’un membre de son équipe qui ne donne pas encore le meilleur de son potentiel.
- La formation à la Coopération-Négociation pour des patrons d’unités Business qui travaillent mal ensemble, ainsi que la formation à la négociation sociale de Directeurs de sites et RH de sites. formation Cooperation 3.0
- La mise en équation mesurable d’une culture d’entreprise à travers un diagnostic culturel d’organisation automatisé, suivi d’un plan de changement de culture à 2-3 ans.
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Pour travailler ensemble, quel type d’entreprise vous est le plus familier ?
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- 98% de mes références sont des ETI ou des grands groupes. J’ai un faible pour les ETI.
- J’ai travaillé dans l’industrie, la distribution, la banque, les laboratoires pharmaceutiques, la restauration.
- Y compris comme dirigeant d’ESN, l’industrie a été parmi mes clients privilégiés, sans doute du fait de ma formation d’ingénieur dit Grande Ecole. Les entreprises de commercialisation de produits à haute valeur technologique m’ont beaucoup nourri également.
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Pour travailler ensemble, le Coaching est-il encore une offre pertinente sur le marché ?
- Je vous dois un aveu. A la fin des années 90, j’ai œuvré pour structurer la profession du Coaching B to B en créant et en présidant la Société Française de Coaching, première association professionnelle, indépendante des écoles de Coaching.
- Comme lors de la recherche d’or aux Etats-Unis seuls les marchands de pelle ont fait fortune. Les écoles de coaching ont déversé sur le marché une quantité de consultants loin d’avoir les talents de bons coachs. Le besoin reste considérable mais il faut trier le bon grain de l’ivraie avec une très grande attention.
- C’est une des raisons qui me poussent à continuer de proposer mes services. Le coaching est un outil performant ; tous les coachs ne le sont pas.
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Pour travailler ensemble, vous êtes en Alsace; où proposez-vous d’intervenir ?
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- J’ai effectué la quasi-totalité de ma carrière à Paris. Depuis 2 ans je réside dans le grand-Est mais suis mobile partout en France.
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Pour travailler ensemble, quels sont vos trois différenciants d’avec tous vos confrères ?
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Cerveau gauche de l’ingénieur associé au cerveau droit d’un bagage psy conséquent.
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Je choisis mes clients en validant sans compromis une complicité de valeurs et de vision stratégique avec le Dirigeant avant de me mouiller avec lui sans réserve.
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J’aime le monde de l’entreprise quand il crée de la valeur pour ses salariés, puis pour ses clients, donc pour ses actionnaires.
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Si je vous ai presque convaincu, parlons-nous. Ce sera déjà travailler ensemble.
Alain GHERSON
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